Si les gouvernements ne réussissent pas à créer des emplois, mais criminalisent les citoyen·ne·s qui créent leurs propres emplois, ils risquent d’engendrer l’instabilité sociale. Et pourtant, les autorités refusent systématiquement de dialoguer avec les vendeuse·eur·s de l’informel pour débattre d’un cadre légal favorable à règlementer leur utilisation de l’espace public. Les autorités ne font que considérer les vendeuse·eur·s de rue et autres travailleuse·eur·s de l’informel comme des sources de revenus.